Inventaire commencé le 1 juillet 2020.
Mise à jour: le 24 août.
76 plantes à fleurs
29 graminées
3 fougères
Plantes à fleurs:
Achillea millefolium, Allium paniculatum, Amaranthus deflexus, Anagalis arvensis, Angelica sylvestris, Anthemis arvensis, Arctium minus, Arum italicum, Bellis perennis, Bryonia cretica, Buddleja davidii, Calystegia sepium, Campanula patula, Choisya dewitteana, Circaea lutetiana, Cirsium vulgare, Convolvulus arvensis, Crocosmia crocosmiflora, Daucus carota, Dipsacus fullonum, Epilobium hirsutum, Erigeron annuus, Eruca sativa, Eupatorium cannabinum, Ficus carica, Galium aparine, Galium palustre, Geranium robertianum, Geum urbanum, Gnaphalium sylvaticum, Hedera helix, Hypericum hidcoteense, Hypericum perforatum, Hypochaeris radicata, Lactuca serriola, Lathyrus pratensis, Leucanthemum vulgare, Lonicera japonica, Lotus corniculatus, Lotus tenuis, Lythrum salicaria, Malva neglecta, Malva sylvestris, Mentha suaveolens, Nandina domestica, Parthenocissus inserta, Phytolacca americana, Picris echioides, Plantago lanceolata, Plantago major, Polygonum aviculare, Polygonum persicaria, Potentilla reptans, Potentilla sterilis, Potentilla tabernaemontani, Primula vulgaris, Prunella vulgaris, Ranunculus acris, Reynoutria japonica, Rosa sp, Rubus fruticosus, Rubus saxatilis, Rumex obtusifolius, Solanum nigrum, Sambucus nigra, Silene dioica, Sonchus oleraceus, Stellaria graminea, Tamus communis, Taraxacum sp, Torilis arvensis, Trachycarpus fortunei, Trifolium pratense, Trifolium repens, Urtica dioica, Verbena officinalis,
Graminées, carex et joncs:
Alopecurus myosuroides, Avena barbata, Brachypodium sylvaticum, Carex divulsa, Carex pendula, Ceratochloa carthartica, Cynodon dactylon, Cyperus eragrostis, Digitaria sanguinalis, Echinochloa crus-galli, Elymus repens, Festuca arundinacea, Festuca rubra, Holcus lanatus, Hordeum murinum, Juncus effusus, Juncus tenuis, Lolium multiflorum, Lolium perenne, Melica uniflora, Paspalum dilatatum, Paspalum distichum, Phleum pratense, Poa annua, Poa pratensis, Poa trivialis, Rostraria cristata, Setaria pumila, Sorghum halepense,
Fougères:
Asplenium scolopendrium, Polystichum aculeatum, Pteridium aquilinum,
Echinochloa crus-galli.
Ref: "Graminées", Philippe Jauzein et Jacques Montegut.
Les épillets se groupes souvent par 3 (6) rangées et il est très fréquent d'observer des ramifications des grappes spiciformes basales.Un autre caractère important est la différence entre la glume supérieure et la lemme stérile car celle-ci peut porter une arête allant jusqu'à 4 cm.
Ref: "Mauvaises herbes des cultures", J. Mamarot, édition ACTA.
Le panic pied-de-coq est une plante annuelle, généralement glabre, pouvant taller abondamment, les talles, d'abord couchées, sont genouillées au premier nœud puis se redressent. L'espèce peut atteindre 1,50 m et plus.
Les feuilles, longues et larges (jusqu'à 50 cm x 2) ont un bord coupant, souvent ondulé et un limbe rugueux au toucher de haut en bas.
L'épiaison a lieu de juillet à octobre. Les épillets poilus, de 3 a 4 mm, vert puis violacés, sont mutiques ou plus ou moins longuement aristés. Ils se réunissent sur quatre rangs en épis linéaires regroupés en panicule.
Cette espèce hygrophile, à tendance silicicole, est présente dans toutes les régions et sur tous les types de sols, pourvu qu'ils soient suffisamment humides.
L'irrigation la favorise. Le panic pied-de-coq, fréquent, souvent abondant, colonise l'ensemble des cultures estivales.
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