Une règle générale est de prendre l'éperon en photo, les sépales, les stipules ainsi que les feuilles.
Autre source:
http://www.isatis31.botagora.fr/Portals/5/revues/03-2003/05-Le-genre-Viola-en-Haute-Garonne.pdf?fbclid=IwAR3Lo3izj44pA5-CZYd_vm3JgKT0bodTPNgI44m_TpPOiIFnDIMDLJaTE9o
Viola riviniana ou reichenbachiana.
Après relecture et relecture, il semblerait que ce soit une violette des bois, reichenbachiana.
Commune, violette forestière par excellence, la violette des bois se trouve en sous-bois, donc en situation plus ou moins ombragée, sur des sols frais (mais non humides) et riches en éléments nutritifs. Elle fréquente les forêts de chênes et hêtres ou châtaigniers.
La violette des bois préfère les bois anciens et constitue à ce titre un marqueur de milieu peu perturbé. Le traitement des bois en régime de taillis (méthode très répandue pour produire du bois de chauffage) lui est très favorable: à l'occasion des coupes d'éclaircie, la population peut augmenter de 40%.
Ref: Page 62, Guide des fleurs des forêts, Belin 2014, Gérard Guillot.
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Des fleurs plus facile d'identification
Primevère élevée. Primula elatior.
Scille jacinthe. Scilla liliohyacinthus.
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