Inventaire commencé le 1 juillet 2020.
Mise à jour: le 15 août.
76 plantes à fleurs
27 graminées
3 fougères
Plantes à fleurs:
Achillea millefolium, Allium paniculatum, Amaranthus deflexus, Anagalis arvensis, Angelica sylvestris, Anthemis arvensis, Arctium minus, Arum italicum, Bellis perennis, Bryonia cretica, Buddleja davidii, Calystegia sepium, Campanula patula, Choisya dewitteana, Circaea lutetiana, Cirsium vulgare, Convolvulus arvensis, Crocosmia crocosmiflora, Daucus carota, Dipsacus fullonum, Epilobium hirsutum, Erigeron annuus, Eruca sativa, Eupatorium cannabinum, Ficus carica, Galium aparine, Galium palustre, Geranium robertianum, Geum urbanum, Gnaphalium sylvaticum, Hedera helix, Hypericum hidcoteense, Hypericum perforatum, Hypochaeris radicata, Lactuca serriola, Lathyrus pratensis, Leucanthemum vulgare, Lonicera japonica, Lotus corniculatus, Lotus tenuis, Lythrum salicaria, Malva neglecta, Malva sylvestris, Mentha suaveolens, Nandina domestica, Parthenocissus inserta, Phytolacca americana, Picris echioides, Plantago lanceolata, Plantago major, Polygonum aviculare, Polygonum persicaria, Potentilla reptans, Potentilla sterilis, Potentilla tabernaemontani, Primula vulgaris, Prunella vulgaris, Ranunculus acris, Reynoutria japonica, Rosa sp, Rubus fruticosus, Rubus saxatilis, Rumex obtusifolius, Solanum nigrum, Sambucus nigra, Silene dioica, Sonchus oleraceus, Stellaria graminea, Tamus communis, Taraxacum sp, Torilis arvensis, Trachycarpus fortunei, Trifolium pratense, Trifolium repens, Urtica dioica, Verbena officinalis,
Graminées, carex et joncs:
Alopecurus myosuroides, Avena barbata, Carex divulsa, Carex pendula, Ceratochloa carthartica, Cynodon dactylon, Cyperus eragrostis, Digitaria sanguinalis, Elymus repens, Festuca arundinacea, Festuca rubra, Holcus lanatus, Hordeum murinum, Juncus effusus, Juncus tenuis, Lolium multiflorum, Lolium perenne, Melica uniflora, Paspalum dilatatum, Paspalum distichum, Phleum pratense, Poa annua, Poa pratensis, Poa trivialis, Rostraria cristata, Setaria pumila, Sorghum halepense,
Fougères:
Asplenium scolopendrium, Polystichum aculeatum, Pteridium aquilinum,
C'est une mauvaise herbe des champs, des jardins et des prairies. On la reconnaît à ses gros rhizomes effilés, blancs ou jaunâtres, aux arêtes courtes des glumes des épillets multiflores et aux oreillettes enroulées et bien développées des ses feuilles.
On trouve le chiendent dans toute l'Europe et en Asie, surtout dans les sols travaillés et riches en humus. La présence du chiendent occasionne une forte dessication du sol et, par conséquent, un abaissement considérable du rendement des cultures.
Les rhizomes du chiendent traversent non seulement le sol, mais même certains obstacles tendres, les tubercules des pommes de terre ou d'autres parties des plantes. Le chiendent est considéré comme une mauvaise herbe très nuisible et difficile à détruire. Seuls les herbicides chimiques ont permis de l'éliminer des cultures.
Quand la plante croît librement, ses rejets isolés, feuillus, verts ou grisâtres, forment dans les sols arables, des peuplements lâches qui ne garnissent, en juin ou juillet, de chaumes portant les fleurs et les épis. Les épillets tournent leur face large vers l'axe de l'épi et sont caractérisés par des enveloppes plus ou moins effilés. On peut en nourrir les porcs et, dans les près, il est très précieux au point de vue diététique. Le rhizome est officinal.
2 commentaires:
Lolium
Perenne ?
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