Inventaire commencé le 1 juillet 2020.
Mise à jour: le 27 novembre 2020
80 plantes à fleurs
28 graminées
3 fougères
Plantes à fleurs:
Achillea millefolium, Allium paniculatum, Amaranthus deflexus, Anagalis arvensis, Angelica sylvestris, Anthemis arvensis, Arctium minus, Arum italicum, Bellis perennis, Borago officinalis, Bryonia cretica, Buddleja davidii, Calystegia sepium, Campanula patula, Choisya dewitteana, Circaea lutetiana, Cirsium vulgare, Convolvulus arvensis, Crocosmia crocosmiflora, Daucus carota, Dipsacus fullonum, Epilobium hirsutum, Erigeron annuus, Eruca sativa, Eupatorium cannabinum, Ficaria verna, Ficus carica, Galium aparine, Galium palustre, Geranium robertianum, Geum urbanum, Gnaphalium sylvaticum, Hedera helix, Hypericum hidcoteense, Hypericum perforatum, Hypochaeris radicata, Lactuca serriola, Lathyrus pratensis, Leucanthemum vulgare, Lonicera japonica, Lotus corniculatus, Lotus tenuis, Lythrum salicaria, Malva neglecta, Malva sylvestris, Mentha suaveolens, Nandina domestica, Parthenocissus inserta, Phytolacca americana, Picris echioides, Plantago lanceolata, Plantago major, Polygonum aviculare, Polygonum persicaria, Potentilla reptans, Potentilla sterilis, Potentilla tabernaemontani, Primula vulgaris, Prunella vulgaris, Ranunculus acris, Reynoutria japonica, Rosa sp, Rubus fruticosus, Rubus saxatilis, Rumex obtusifolius, Solanum nigrum, Sambucus nigra, Silene dioica, Sonchus oleraceus, Stellaria graminea, Symphytum officinale, Tamus communis, Taraxacum sp, Torilis arvensis, Trachycarpus fortunei, Trifolium pratense, Trifolium repens, Urtica dioica, Verbena officinalis, Veronica persica,
Graminées, carex et joncs:
Alopecurus myosuroides, Avena barbata, Brachypodium sylvaticum, Carex divulsa, Carex pendula, Ceratochloa carthartica, Cynodon dactylon, Cyperus eragrostis, Digitaria sanguinalis, Elymus repens, Festuca arundinacea, Festuca rubra, Holcus lanatus, Hordeum murinum, Juncus effusus, Juncus tenuis, Lolium multiflorum, Lolium perenne, Melica uniflora, Paspalum dilatatum, Paspalum distichum, Phleum pratense, Poa annua, Poa pratensis, Poa trivialis, Rostraria cristata, Setaria pumila, Sorghum halepense,
Fougères:
Asplenium scolopendrium, Polystichum aculeatum, Pteridium aquilinum,
Symphytum officinale.
Ref: Page 282, "Guide des plantes sauvages" Collectif, Sélection de Réader's Digest.La Consoude officinale a été utilisée pendant quatre mille ans par les médecins pour consolider les fractures osseuses, d'où son nom français de Consoude et son genre Symphytum (formé à partir du verbe grec sumphuô, "Je réunis"). La pulpe obtenue à partir de sa racine était appliquée en emplâtre sur le membre brisé et durcissait, formant une coquille protectrice. Par ailleurs, on a trouvé dans ses tissus une substance fort utilisée de nos jours en cosmétologie et en dermatologie : l'allantoïne.
Plante des clairières, des coupes de bois, des fossés humides dans toute l'Europe tempérée, la Grande Consoude aime les sols riches en nitrate : son abondance dans les prairies ou les marécages est souvent liée à des pollutions d'origine humaine. On la reconnaît à ses grandes feuilles râpeuses et à ses cymes de fleurs enroulées en spirale avant l'épanouissement de leurs corolles en tubes pendants de couleurs très variables.
Plusieurs espèces de Consoudes, de plus grande taille et de croissance rapide, ont été cultivées comme fourrage et se sont répandues parfois dans les haies et les fossés, tel S. asperum Lepechin, la Consoude tude, qui a donné avec la Grande Consoude un hybride : la Consoude de Russie.
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