Découvert aujourd'hui. Photo: Nicolle.
lundi 4 avril 2016
dimanche 3 avril 2016
Plus aucun ophrys lutea à Cadillon, mais aussi en Béarn, cette parcelle était l'unique site connu à ce jour.
J'y ai passé environ 1 heure à chercher l'Ophrys lutea
Non comptant d'avoir bousillé un site, ils mettent des barbelés, "Bande de gros naze" pour être poli.
Si vous êtes révoltés et solidaires de notre peine, oui de notre peine, à vous de voir...!!
Personnellement je ne vais plus boire leurs vins et spiritueux et tout ce qui est de la coopérative "Saint-Mont".
Le CEN Aquitaine qui avait la gestion de la parcelle a porté l'action en justice pour destruction d'espèces protégés. (les travaux sont bloqués).
Ce pied a réussi à percer.
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Autre site à Cadillon.
Futur ophrys scolopax.
Avec les orchidées, la chlore ou blackstonie perfoliée.
Blackstonia perfoliata
Hudson, botaniste anglais du XVIIIe siècle, a dédié cette plante à un ami contemporain, Jean Blackstone, apothicaire. Perfoliata souligne le caractère spécifique de ses feuilles qui semble traversées la tige.
Le genre Blackstonia, anciennement nommé Chlora, encore mal débrouillé par les spécialistes, ne comporterait en France que trois espèces. il est rattaché à la famille des gentianacées.
Ref: Les plantes sauvages de nos campagnes. Bernard Clément. édition Métive.
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Les premiers Anacamptis pyramidalis
Un site avec l'O.lutea en Natura 2000 a subit une activité de moto-cross, un dialogue est ouvert pour que cela cesse
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Hugues relève la position GPS de l'Ophrys lutea.
Sur ce site il y a actuellement environ une dizaine de pieds d' Ophrys lutea.
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Les traces des moto-cross ou squad
Photos: Roselyne Lafargue.
samedi 2 avril 2016
Autres orchidées sur le coteau "Clèdes'.
Cette orchidée doit son nom d'espèce à la teinte pourprée de ses fleurs. Hudson, le botaniste britannique qui l'a ainsi baptisée, à fait très simple, ce n'est pas toujours le cas!
Ref: Les plantes sauvages de nos campagnes. Bernard Clément. édition Métive.
Hugues en action.
Le sérapias langue porte bien son nom.
Voici l'erreur d'identification qu'il ne faut pas faire, car chez O.aranifera le label serait plus sombre que le champ basal clair, dans ce cas la couleur est la même entre les deux parties, c'est donc Occidentalis même si le champ basal devrait être bien plus sombre, voir presque noir.
Ophrys occidentalis.
En marge de nos orchidées mais avec elles sur les pelouses sèches, calcaires.
Globularia vulgaris,
Contrairement à son épithète, cette plante n'est pas très commune puisqu'elle est particulièrement exigeante quant à son habitat. Elle prospère exclusivement sur les sols pauvres, calcaires et xérophiles, comme les pelouses rases.
Ref: Les plantes sauvages de nos campagnes. Bernard Clément. édition Métive.
Un livre que j'ai acheté dernièrement.
Longue séance de soleil printanier.
Une fougère primitive assez fréquente dans les stations d'orchidées, l'ophioglosse.
Visite d'un deuxième site des Ophrys lutea dans le Tursan à Clèdes 40.
Trois fleurs sur un même pied.
Cinq pieds en enfilade.
Sur le même endroit une dizaine de pieds.
Visite du premier site à Ophrys jaune "lutea" à Payros dans le Tursan 40.
Sous la sépale centrale on vois bien les deux pollinies
Il est rare de voir aussi bien le pied et les rosettes sans faire de ménage.
lundi 28 mars 2016
dimanche 27 mars 2016
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