Le vocabulaire et les livres sur les graminées.

Inventaire botanique de la coulée verte du Laü. Veronica persica.

Inventaire commencé le 1 juillet 2020.

Mise à jour: le 21 novembre 2020

77 plantes à fleurs

28 graminées

3 fougères 

Plantes à fleurs:

Achillea millefolium, Allium paniculatum, Amaranthus deflexus, Anagalis arvensis, Angelica sylvestris, Anthemis arvensis, Arctium minus, Arum italicum, Bellis perennis, Bryonia cretica, Buddleja davidii, Calystegia sepium, Campanula patula, Choisya dewitteana, Circaea lutetiana, Cirsium vulgare, Convolvulus arvensis, Crocosmia crocosmiflora, Daucus carota, Dipsacus fullonum, Epilobium hirsutum, Erigeron annuus, Eruca sativa, Eupatorium cannabinum, Ficus carica, Galium aparine, Galium palustre, Geranium robertianum, Geum urbanum, Gnaphalium sylvaticum, Hedera helix, Hypericum hidcoteense, Hypericum perforatum, Hypochaeris radicata, Lactuca serriola, Lathyrus pratensis, Leucanthemum vulgare, Lonicera japonica, Lotus corniculatus, Lotus tenuis, Lythrum salicaria, Malva neglecta, Malva sylvestris, Mentha suaveolens, Nandina domestica, Parthenocissus inserta, Phytolacca americana, Picris echioides, Plantago lanceolata, Plantago major, Polygonum aviculare, Polygonum persicaria, Potentilla reptans, Potentilla sterilis, Potentilla tabernaemontani, Primula vulgaris, Prunella vulgaris, Ranunculus acris, Reynoutria japonica, Rosa sp, Rubus fruticosus, Rubus saxatilis, Rumex obtusifolius, Solanum nigrum, Sambucus nigra, Silene dioica, Sonchus oleraceus, Stellaria graminea, Tamus communis, Taraxacum sp, Torilis arvensis, Trachycarpus fortunei, Trifolium pratense, Trifolium repens, Urtica dioica, Verbena officinalis, Veronica persica, 

Graminées, carex et joncs:

Alopecurus myosuroides, Avena barbata, Brachypodium sylvaticum, Carex divulsa, Carex pendula, Ceratochloa carthartica, Cynodon dactylon, Cyperus eragrostis, Digitaria sanguinalis, Elymus repens, Festuca arundinacea, Festuca rubra, Holcus lanatus, Hordeum murinum, Juncus effusus, Juncus tenuis, Lolium multiflorum, Lolium perenne, Melica uniflora, Paspalum dilatatum, Paspalum distichum, Phleum pratense, Poa annua, Poa pratensis, Poa trivialis, Rostraria cristata, Setaria pumila, Sorghum halepense, 

Fougères:

Asplenium scolopendrium, Polystichum aculeatum, Pteridium aquilinum, 

Veronica chamaedrys.

Ref: page 496, "L'indispensable guide de l'amoureux des fleurs sauvages" G. Guillot - G. Eyssartier; édition Belin.

La Véronique de Perse a été introduite en Europe en 1805, depuis le Proche-Orient, à partir d'un jardin botanique en Allemagne. Elle s'est rapidement propagée au cours du XIXe siècle et a conquis toute l'Europe, devenant l'une des plantes les plus communes partout. Elle pousse dans toutes sortes de milieux cultivés, perturbés par les activités humaines et enrichis en azote. On peut la trouver presque n'importe où, pourvu qu'il y ait un peu de sol nu et que le site ne soit pas trop sec.

Ce cerisier en fleur en novembre n'est pas du au dérèglement climatique.

Mais à une espèce que fleurit en hiver.

 

Cerisier du Japon "Autumnalis" Prunus subhirtella. 

 

Type : Arbre

Taille adulte (H x L): 5m x 5m

Période de floraison : janvier, octobre, novembre, décembre

Ce petit arbre a la particularité de fleurir au moment où les fleurs sont rares dans les jardins. Les boutons floraux roses s'épanouissent en fleurs semi-doubles, blanches. Elles s'ouvrent par intermittence en automne et pendant les périodes douces de l'hiver. La floraison légère et gracieuse surprend agréablement pendant la saison froide. Le feuillage vert prend de belles teintes jaune cuivré en automne.

Inventaire botanique de la coulée verte du Laü. Phytolacca americana.

 Inventaire commencé le 1 juillet 2020.

Mise à jour: le 1 novembre 2020

76 plantes à fleurs

28 graminées

3 fougères 

Plantes à fleurs:

Achillea millefolium, Allium paniculatum, Amaranthus deflexus, Anagalis arvensis, Angelica sylvestris, Anthemis arvensis, Arctium minus, Arum italicum, Bellis perennis, Bryonia cretica, Buddleja davidii, Calystegia sepium, Campanula patula, Choisya dewitteana, Circaea lutetiana, Cirsium vulgare, Convolvulus arvensis, Crocosmia crocosmiflora, Daucus carota, Dipsacus fullonum, Epilobium hirsutum, Erigeron annuus, Eruca sativa, Eupatorium cannabinum, Ficus carica, Galium aparine, Galium palustre, Geranium robertianum, Geum urbanum, Gnaphalium sylvaticum, Hedera helix, Hypericum hidcoteense, Hypericum perforatum, Hypochaeris radicata, Lactuca serriola, Lathyrus pratensis, Leucanthemum vulgare, Lonicera japonica, Lotus corniculatus, Lotus tenuis, Lythrum salicaria, Malva neglecta, Malva sylvestris, Mentha suaveolens, Nandina domestica, Parthenocissus inserta, Phytolacca americana, Picris echioides, Plantago lanceolata, Plantago major, Polygonum aviculare, Polygonum persicaria, Potentilla reptans, Potentilla sterilis, Potentilla tabernaemontani, Primula vulgaris, Prunella vulgaris, Ranunculus acris, Reynoutria japonica, Rosa sp, Rubus fruticosus, Rubus saxatilis, Rumex obtusifolius, Solanum nigrum, Sambucus nigra, Silene dioica, Sonchus oleraceus, Stellaria graminea, Tamus communis, Taraxacum sp, Torilis arvensis, Trachycarpus fortunei, Trifolium pratense, Trifolium repens, Urtica dioica, Verbena officinalis,

Graminées, carex et joncs:

Alopecurus myosuroides, Avena barbata, Brachypodium sylvaticum, Carex divulsa, Carex pendula, Ceratochloa carthartica, Cynodon dactylon, Cyperus eragrostis, Digitaria sanguinalis, Elymus repens, Festuca arundinacea, Festuca rubra, Holcus lanatus, Hordeum murinum, Juncus effusus, Juncus tenuis, Lolium multiflorum, Lolium perenne, Melica uniflora, Paspalum dilatatum, Paspalum distichum, Phleum pratense, Poa annua, Poa pratensis, Poa trivialis, Rostraria cristata, Setaria pumila, Sorghum halepense, 

Fougères:

Asplenium scolopendrium, Polystichum aculeatum, Pteridium aquilinum, 

Phytolacca americana.

Ref: page 242, Guide des plantes invasives, 2012, Guillaume Fried. édition Belin.

Le raisin d'Amérique a globalement un faible impact environnemental, car il est principalement lié à des milieux perturbés. Il est problématique dans les cultures de maïs où il est difficile à désherber du fait de sa souche profonde, il est également envahissant en milieux forestiers, en particulier dans les Landes et localement ailleurs (Sologne, Forêt de Fontainebleau). Sa progression en forêt semble avoir été favorisée par les perturbations liées aux tempêtes Lothar et Klaus, en 1999.

Lorsque l'ornithologie vous mène à la Botanique: découverte d'un plaqueminier.

J'observais des Merles noir, des Fauvettes à tête noire, des Leiothrix jaunes dans un arbre avec des fruits, et j'ai découvert le plaqueminier. 

Ref: page 107, Guide des arbres & Arbustres, 1986, Collectif, Sélection du Reader's Digest.  

Cultivé pour ses jolis fruits orangés et pour la beauté de son feuillage, le kaki est originaire d'Extrême-Orient (Chine, Japon, Corée) et porte le nom, légèrement francisé, donné à son fruit au Japon, Kakino. Introduit en Europe en 1796 par le botaniste anglais Willliam Roxburg, il ne s'est répandu dans les parcs et jardins qu'à partir de la deuxième moitié du XIXe siècle.

Craignant les fortes gelées, le Kaki est assez rustique et, s'il prospère tout particulièrement dans le Midi et l'Ouest, on le trouve aussi dans d'autres régions, où il arrive à fructifier quand l'été a été marqué par de forte chaleurs. C'est arbre très décoratif avec ses feuilles lustrées devenant pourpre en automne.

Si les fleurs sont petites et sans éclat, les fruits, en revanche, sont des plus spectaculaires, ressemblant à des oranges à peau lisse. S'ils ne sont pas récoltés, il restent sur l'arbre jusqu'en hiver alors que les feuilles sont tombées, donnant au Kaki un aspect aussi étrange que beau. Les fruits devenus blets son les meilleurs.

On cultive aussi d'autres espèces du genre Diospyros, tant pour leurs fruits que pour leur bois très dur : le Plaqueminier de Virginie (Diospyros viginiana) grand et arbre, de 15 à 25 m, originaire du centre et de l'est des états-Unis d'où il nous est venu en 1629 ; le Plaqueminier Faux Lotier, (D. lotus) de Chine. Le bois d'ébène, très apprécié pour sa couleur noire, sa dureté et sa densité, est issu d'arbres tropicaux, notamment de l'Ebène vrai (D. ebenum), de Sri Lanka et d'indonésie.

Diospyros kaki.

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Un soleil sur les pelouse sèches en vallée d'Ossau.

Un soleil sur les pâtures en vallée d'Ossau. Certaines (Carlines) sont blanches, mais j'ai une préférence pour les jaunes.

Selon Marcel Saule: La Carline acaule est blanche argenté, alors que la Carline artichaut et jaune paille. (dans sa première flore) planche 265.

Actuellement aux alentours de Pont de Camps plus bas et même plus haut, vers Sosques les deux sont en peine floraison. Elles aiment les pelouses secs ou l'herbe n'est plus qu'un tapis de paille.

Je vais donc vous présenter une présentation de Georges Dupias qu'il a écris dans "Fleurs des Pyrénées" en 1975.

La Carline artichaut (Carlina cynara) est une composée épineuse, sans tige, qui produit au niveau de sol un énorme capitule (jusqu'à 15 cm de diamètre), entouré d'une rosette de grande feuilles vertes et luisantes à la face supérieure, découpées en lobes épineux ; les longues bractées scarieuses, de couleur jaune doré, se reploient au-dessus du capitule par temps couvert ou humide, alors qu'elles s'étalent largement par temps ensoleillé : des mouvements lui ont fait attribuer, comme aux autres Carlines sans tige, les vertus d'un baromètre naturel. Malheureusement beaucoup d'exemplaires de notre plante finissent leurs jours fixés à la calandre de l'automobile d'un touriste peu scrupuleux ; L'espèce ne vit que dans les Pyrénées et le massif central. Dans la région de Gavarnie il faut noter une endémique pyrénéenne à localisation étroite.

Inventaire botanique de la coulée verte du Laü. "Echinochloa crus-galli".

Inventaire commencé le 1 juillet 2020.

Mise à jour: le 24 août.

76 plantes à fleurs

29 graminées

3 fougères 

Plantes à fleurs:

Achillea millefolium, Allium paniculatum, Amaranthus deflexus, Anagalis arvensis, Angelica sylvestris, Anthemis arvensis, Arctium minus, Arum italicum, Bellis perennis, Bryonia cretica, Buddleja davidii, Calystegia sepium, Campanula patula, Choisya dewitteana, Circaea lutetiana, Cirsium vulgare, Convolvulus arvensis, Crocosmia crocosmiflora, Daucus carota, Dipsacus fullonum, Epilobium hirsutum, Erigeron annuus, Eruca sativa, Eupatorium cannabinum, Ficus carica, Galium aparine, Galium palustre, Geranium robertianum, Geum urbanum, Gnaphalium sylvaticum, Hedera helix, Hypericum hidcoteense, Hypericum perforatum, Hypochaeris radicata, Lactuca serriola, Lathyrus pratensis, Leucanthemum vulgare, Lonicera japonica, Lotus corniculatus, Lotus tenuis, Lythrum salicaria, Malva neglecta, Malva sylvestris, Mentha suaveolens, Nandina domestica, Parthenocissus inserta, Phytolacca americana, Picris echioides, Plantago lanceolata, Plantago major, Polygonum aviculare, Polygonum persicaria, Potentilla reptans, Potentilla sterilis, Potentilla tabernaemontani, Primula vulgaris, Prunella vulgaris, Ranunculus acris, Reynoutria japonica, Rosa sp, Rubus fruticosus, Rubus saxatilis, Rumex obtusifolius, Solanum nigrum, Sambucus nigra, Silene dioica, Sonchus oleraceus, Stellaria graminea, Tamus communis, Taraxacum sp, Torilis arvensis, Trachycarpus fortunei, Trifolium pratense, Trifolium repens, Urtica dioica, Verbena officinalis,

Graminées, carex et joncs:

Alopecurus myosuroides, Avena barbata, Brachypodium sylvaticum, Carex divulsa, Carex pendula, Ceratochloa carthartica, Cynodon dactylon, Cyperus eragrostis, Digitaria sanguinalis, Echinochloa crus-galli, Elymus repens, Festuca arundinacea, Festuca rubra, Holcus lanatus, Hordeum murinum, Juncus effusus, Juncus tenuis, Lolium multiflorum, Lolium perenne, Melica uniflora, Paspalum dilatatum, Paspalum distichum, Phleum pratense, Poa annua, Poa pratensis, Poa trivialis, Rostraria cristata, Setaria pumila, Sorghum halepense, 

Fougères:

Asplenium scolopendrium, Polystichum aculeatum, Pteridium aquilinum, 

Echinochloa crus-galli.

Ref: "Graminées", Philippe Jauzein et Jacques Montegut. 

Les épillets se groupes souvent par 3 (6) rangées et il est très fréquent d'observer des ramifications des grappes spiciformes basales.

Un autre caractère important est la différence entre la glume supérieure et la lemme stérile car celle-ci peut porter une arête allant jusqu'à 4 cm.

Ref: "Mauvaises herbes des cultures", J. Mamarot, édition ACTA.

Le panic pied-de-coq est une plante annuelle, généralement glabre, pouvant taller abondamment, les talles, d'abord couchées, sont genouillées au premier nœud puis se redressent. L'espèce peut atteindre 1,50 m et plus. 

Les feuilles, longues et larges (jusqu'à 50 cm x 2) ont un bord coupant, souvent ondulé et un limbe rugueux au toucher de haut en bas.

L'épiaison a lieu de juillet à octobre. Les épillets poilus, de 3 a 4 mm, vert puis violacés, sont mutiques ou plus ou moins longuement aristés. Ils se réunissent sur quatre rangs en épis linéaires regroupés en panicule. 

Cette espèce hygrophile, à tendance silicicole, est présente dans toutes les régions et sur tous les types de sols, pourvu qu'ils soient suffisamment humides.

L'irrigation la favorise. Le panic pied-de-coq, fréquent, souvent abondant, colonise l'ensemble des cultures estivales.

Inventaire botanique de la coulée verte du Laü. "Brachypodium sylvaticum"

Inventaire commencé le 1 juillet 2020.

Mise à jour: le 23 août.

76 plantes à fleurs

28 graminées

3 fougères 

Plantes à fleurs:

Achillea millefolium, Allium paniculatum, Amaranthus deflexus, Anagalis arvensis, Angelica sylvestris, Anthemis arvensis, Arctium minus, Arum italicum, Bellis perennis, Bryonia cretica, Buddleja davidii, Calystegia sepium, Campanula patula, Choisya dewitteana, Circaea lutetiana, Cirsium vulgare, Convolvulus arvensis, Crocosmia crocosmiflora, Daucus carota, Dipsacus fullonum, Epilobium hirsutum, Erigeron annuus, Eruca sativa, Eupatorium cannabinum, Ficus carica, Galium aparine, Galium palustre, Geranium robertianum, Geum urbanum, Gnaphalium sylvaticum, Hedera helix, Hypericum hidcoteense, Hypericum perforatum, Hypochaeris radicata, Lactuca serriola, Lathyrus pratensis, Leucanthemum vulgare, Lonicera japonica, Lotus corniculatus, Lotus tenuis, Lythrum salicaria, Malva neglecta, Malva sylvestris, Mentha suaveolens, Nandina domestica, Parthenocissus inserta, Phytolacca americana, Picris echioides, Plantago lanceolata, Plantago major, Polygonum aviculare, Polygonum persicaria, Potentilla reptans, Potentilla sterilis, Potentilla tabernaemontani, Primula vulgaris, Prunella vulgaris, Ranunculus acris, Reynoutria japonica, Rosa sp, Rubus fruticosus, Rubus saxatilis, Rumex obtusifolius, Solanum nigrum, Sambucus nigra, Silene dioica, Sonchus oleraceus, Stellaria graminea, Tamus communis, Taraxacum sp, Torilis arvensis, Trachycarpus fortunei, Trifolium pratense, Trifolium repens, Urtica dioica, Verbena officinalis,

Graminées, carex et joncs:

Alopecurus myosuroides, Avena barbata, Brachypodium sylvaticum, Carex divulsa, Carex pendula, Ceratochloa carthartica, Cynodon dactylon, Cyperus eragrostis, Digitaria sanguinalis, Elymus repens, Festuca arundinacea, Festuca rubra, Holcus lanatus, Hordeum murinum, Juncus effusus, Juncus tenuis, Lolium multiflorum, Lolium perenne, Melica uniflora, Paspalum dilatatum, Paspalum distichum, Phleum pratense, Poa annua, Poa pratensis, Poa trivialis, Rostraria cristata, Setaria pumila, Sorghum halepense, 

Fougères:

Asplenium scolopendrium, Polystichum aculeatum, Pteridium aquilinum, 

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Brachypodium sylvaticum.

Ref: "Plantes herbacées", Jaromir Sikula, 1977, édition Grund.

.... Les feuilles ont une fraîche couleur verte et un large limbe. L'inflorescence est le principal caractère d'identification; elle forme un épi simple à courtes ramifications. l'inflorescence toute entière est retombante et porte de longues arêtes. La ligule peut atteindre 4 mm de long. L'extrémité est dentelée.

Ref: "Plantes herbacées", Jaromir Sikula, 1977, édition Grund.

Le brachypode des bois est une herbe vivace à de nombreux rejets. L'enracinement est faible, les rejets courts ne sont pas traçants. De grosses touffes à longs chaumes se forment au printemps et fleurissent en été. Les chaumes sont sont droits, retombants à l'extrémité, minces, à nœuds poilus. Les épillets, qui ont plus de 2 cm de long, sont ovales sur une coupe, à la différence de l'ivraie. 

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La ligule et le noeud.

Ref: "Graminées" Philippe jauzein et Jacques Montegut, école nationale supérieure d'horticulture de Versailles. 

L'inflorescence est semblabe à celle de Brachypodium pinnatum et B. phoenicoides : allongée, à nombreux épillets, un peu penchée à son sommet à l'image des feuilles nutantes de base. Par contraste avec l'aspect rigide des autres espèces, Le brachypode des bois paraît comme mou : allure renforcée par l'abondante pilosité qui recouvre souvent les épillets. 

 

Les épillets avec les arêtes.

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Page 32.