samedi 10 août 2013

Les edelweiss du Lauriolle.

Je désire vous parler de cette fleur qui est dans l'imaginaire de beaucoup de personne, elle est aussi dans le mien....
Etant ado, une bonne sœur me disait "Si tu travail bien je te ferais voir des edelwiess"....mais elle est décédée avant.....Cette sœur était l'ami de ma grand mère avec qui nous allions cueillir les plantes pour faire "La Bénédictine" à Fécamp 76....Elle voulait m'emmener dans son abbaye de Chartreuse là ou elle faisait aussi cette autre liqueur.
Alors cette fleur qui a bercé toute mon adolescence....la voici.





Juste un peu sous cette endroit il y avait un pluvier guignard, (un oiseau qui niche en montagne) dommage je n'ai pas la photo.
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Autres fleurs
Aster des Alpes.

Des linaigrettes.

Et le magnifique Ossau.

Deuxième partie au dessus de la cabane d'Ibech.

Cette 2e partie présente les orchidées entre la cabane d'Ibech et le Turon de la Goaïta à 1805m


Néotinea ustulata.

Plantanthera bifolia

Plantanthera chlorantha.

Bruno devant "Ses" pieds d'atrorubens. 

A 1800m une centaine de pieds.

Epipactis atrorubens


à 1803m.

Première partie, piste d'ibech

Avec Bruno Faffe, nous avons prospectés ce secteur de la vallée d'Ossau, à la recherche des épipactis, mais aussi des:  Dactylorhiza.

Dactylorhiza maculata ericetorum
Nous en avons conclu sauf avis de votre part à "ericetorum"

Hybride: Dactylorhiza majalis, x Dactylorhiza. maculata.

Epipactis helleborine.

Paysage à la montée.

vendredi 9 août 2013

Sortie sur le volcanisme sous-marin en Béarn.

Dans le cadre des sorties organisées par le Parc National des Pyrénées, j'ai fait la sortie de Mr Savé volcanologue. C'est un homme passionnant, il a bien voulu nous en faire une nous, voici le compte rendu.

Josette, Jean-Paul Savé, Bruno.



Josette en admiration.

Bruno docteur en géologie nous explique les coulées de lave.

 

Les coulées de lave en cousin.

Les fissures expliquent le choc thermique avec l'eau de mer.



jeudi 8 août 2013

A la recherche des Epipactis en Ossau.

La piste forestière du Pièt et la route qui conduit pour vers la ballade du Soussouéou, je l'ai fais jusqu'au bout....j'ai loupé une photo d'un moustique tigre (Aedes albopictus ) et je suis certain de mon identification
Un magnifique hampe d'épipactis hélléborine.


Pas d'autre épipactis, j'ai pourtant bien cherché.

mercredi 7 août 2013

Vendredi 9 Août: Sortie en piémont.

Je vous propose une sortie dans le piémont de la Vallée d'Ossau....le thème sera à la découverte des volcans sous-marins.
Il y a des millions d'années il y avait la mer en Béarn et des volcans sous-marin, nous allons donc voir ces coulées de lave avec un spécialiste Jean-Paul Savet volcanologue qui est à l'origine de cette découverte et notre ami orchidophile Bruno Faffe docteur en Géologie.

RdV à 9h derrière la mairie d'Arudy.

Et à 8h00 place de Verdun de Pau, départ 8h15. retour vers 17/18h.

lundi 5 août 2013

A l'entrée de Goust, un moustique tigre sur un Epipactis helleborine.

Bonjour.
Je vous adresse ces photos prises hier à l'entrée de Goust, un moustique tigre (il me semble) s'est invité dans le cliché d'Epipactis helleborine
Dimanche 4/8/13.
Photos: Geoffroy Chabot
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Carte d'Aout 2012.

Aller vite acheter le journal Sud-Ouest édition "Béarn & Soule" du 5/8/13.

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Cliquez sur le lien pour voir les 3 photos.

Orchidées folies en Béarn Un livre pour les identifier
La société d’orchidophilie d’Aquitaine, à la recherche des espèces sauvages protégées. Par Marion Paquet

Avant d’être une passion pour lui, le jeune Andréas Guyot cueillait des fleurs avec sa grand-mère pour une boisson: la bénédictine . Aujourd’hui, le Normand part toujours à la recherche des fleurs: les orchidées sauvages.

Membre actif de la société d’orchidophilie d’Aquitaine, il organise des sorties, tous les dimanches, entre botanistes amateurs. « J’entretiens un blog sur les orchidées du Béarn, où chacun peut m’envoyer ses photos, en précisant les endroits où il les a trouvées. Ce qui permet à tous les membres de l’association d’aller les voir. » Ces fleurs (il en existe 69 espèces en Aquitaine dont 44 dans le Béarn, pour 162 espèces répertoriées en France), se retrouvent naturellement aux mêmes endroits, d’une année sur l’autre. « Un pied d’orchidée peut avoir une cinquantaine d’années », explique Josette Puyo, de Gurmençon.


« À la recherche des orchidées sauvages d’Aquitaine », la bible des orchidophiles de la région, ne connaît qu’une édition datée de 2004. En rupture de stock, les amoureux des fleurs sauvages se consolent en consultant les blogs des membres de la société d’orchidophiles d’Aquitaine. Ces derniers recensent, au cours de leurs sorties botaniques, les orchidées qu’ils rencontrent. Ils notent scrupuleusement dans leurs carnets les lieux et l’altitude afin de référencer les différentes espèces sur des cartes qui illustreront la deuxième édition du livre de Frank Jouandoudet.
Plus qu’une carte aux trésors, la deuxième édition, prévue pour 2014, contiendra aussi des illustrations et autres informations concernant l’identification, la protection… Un livre qui s’adresse aux initiés.

Chasse aux trésors
Dans les milieux anthropisés, c’est-à-dire modifiés par l’homme, de nouvelles orchidées peuvent pousser sans y avoir été plantées. « On peut en trouver sur des talus formés par des aménagements forestiers par exemple», explique Andréas, pour qui cette dispersion reste un mystère. La reproduction des orchidées, par sa complexité, en fait une espèce rare et protégée : elle ne s’opère que grâce aux insectes, contrairement aux autres fleurs, dont le pollen peut se disperser grâce au vent.
« Le long de l’autoroute, entre Bordeaux et Pau, il y avait des orchidées il y a quelques années, constate l’orchidophile, mais elles ont disparu. » Résigné, il ne croit pas pouvoir sauver ses fleurs chéries de leur pire ennemi : l’homme. « On ne veut pas que tout le monde sache où les trouver, car ils pourraient les cueillir. » Pour la plupart classées espèces protégées, il est interdit de cueillir les orchidées dans le Parc national des Pyrénées. « Les orchidées sont des plantes fidèles si on les respecte », affirme avec conviction Jean-Claude Delorge, de Langon, qui a effectué plus de 2 heures de route pour venir les photographier.
Hier, les orchidophiles ayant répondu à l’annonce de sortie publiée sur le blog d’Andréas, se sont rendus dans la forêt communale de Borce, en vallée d’Aspe, pour apprécier les epipactis palustris. C’est Josette Puyo, 68 ans, qui les avait repérées, fin juillet. Les orchidophiles n’ont pas peur d’avaler des kilomètres pour leurs fleurs. Josette va jusqu’en Chine, ou en Australie pour en découvrir de nouvelles. « Toujours des sauvages », précise-t-elle. Car ce qui motive les passionnés, c’est avant tout « la chasse aux trésors », s’amuse Jean-Claude.
« La marche, le challenge, se prendre une bonne pluie sur le chemin du retour », font partie des plaisirs des sorties botaniques, raconte Mickaël Duigou, 35 ans. Les orchidées fleurissent de février à août, ce qui laisse sept mois pour trouver la perle rare : « Lorsque l’on trouve une orchidée attendue depuis des années, on ressent un véritable sentiment d’extase », s’émeut Jean-Claude, qui dit n’être jamais rassasié d’orchidées. À peine en marche, les botanistes ont leurs organes sensoriels à l’affût. « Là-bas ! Un lys des Pyrénées ! Là-haut ! Un milan royal, une mésange noire ! Regardez ! Un papillon! ». S’intéresser aux orchidées ne les empêche pas d’avoir une connaissance pointue de leur environnement. Andréas est diplômé d’ornithologie et féru des cétacés.

Paparazzis des fleurs
S’arrêtant à chaque nouvelle trouvaille, le pas des marcheurs du dimanche est constamment rompu. Le moment pour eux de dégainer leur appareil photo. « Pas besoin de reflex pour capturer de bonnes images », explique Andréas. « L’important, c’est d’avoir un bon mode macro pour les prendre de près », précise l’ancien photographe de presse. Du bridge au compact, personne n’a toutefois oublié le sien.
« Je ne veux pas venir marcher avec vous si c’est pour vous voir la moitié du temps couchés dans l’herbe ! Voilà ce que me dit ma femme quand je lui propose de nous accompagner en sortie botanique », raconte avec humour Bruno Faffe, 57 ans. Docteur en géologie et ingénieur en informatique, il a suivi une formation de photographie durant quatre jours pour affiner ses clichés. « J’aime revenir aux mêmes endroits d’une année sur l’autre pour pouvoir prendre de meilleures photos. » Près de 300 images sont immortalisées sur son appareil numérique après chaque sortie, avant de classer les fleurs par espèce ou encore par région. La plupart les publient ensuite sur leur site Internet et les partagent ensuite avec d’autres orchidophiles.
À force d’aller à leur rencontre, les passionnés ne prennent même plus la peine d’emmener des livres pour les identifier. « J’emmène toujours ma loupe, un carnet de notes mais les livres s’abîment, alors je ne les emmène plus », raconte Andréas. Finalement, pour les Orchidophiles des Pyrénées-Atlantiques, la meilleure façon d’apprendre à trouver les fleurs sauvages est de partir sur le terrain avec des connaisseurs.
http://orchideebearn.blogspot.fr